L’acteur irlandais Barry Keoghan, connu pour ses performances poignantes et son ascension fulgurante dans l’industrie cinématographique, a récemment partagé une réflexion personnelle touchante sur sa relation avec son enfant.

Dans une déclaration sincère, Keoghan a admis qu’il ne vit pas une relation père-fils « normale » avec son fils en raison de l’absence d’une figure paternelle dans sa propre enfance.

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Barry Keoghan a grandi dans des circonstances difficiles. Placé dans des foyers d’accueil dès son plus jeune âge, il n’a jamais eu de modèle paternel sur lequel s’appuyer. Cette absence a profondément influencé non seulement son parcours de vie, mais aussi la manière dont il aborde aujourd’hui la paternité.

Keoghan a déclaré : « Je vais juste dire ça — je n’ai pas eu de figure paternelle en grandissant, donc même ma relation avec mon fils n’est pas tout à fait une relation père-fils normale parce que je n’ai pas cette figure sur laquelle m’appuyer ou pour m’en inspirer. » Il admet que cette absence de modèle parental laisse un vide dans certains aspects de sa relation avec son fils, notamment en ce qui concerne l’éducation sur des « petites choses » du quotidien.

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Cependant, malgré cette absence de référentiel, Keoghan met en lumière l’aspect fondamental de l’amour dans la relation avec son fils. « L’amour, tu n’as pas besoin de t’appuyer sur quoi que ce soit, l’amour est pur », explique-t-il avec conviction. Ce qui signifie que même s’il lui manque des expériences ou des souvenirs d’une figure paternelle, l’amour qu’il ressent pour son enfant est inconditionnel et authentique.

Keoghan insiste sur la différence entre l’amour et les « petites choses » qui forment le quotidien d’un père avec son enfant. Il parle de ces moments de partage, de transmission de valeurs ou de compétences, comme apprendre à son enfant à faire quelque chose, que lui-même n’a pas pu recevoir durant son enfance.

Barry Keoghan admits he doesn't have 'normal father-son relationship' with  child Brando due to actor's childhood

L’acteur, bien que conscient de ses lacunes en tant que père en raison de son passé, semble déterminé à offrir à son fils un amour et une attention qu’il n’a pas connus. Keoghan souligne que même si certains aspects de la paternité lui échappent, cela ne diminue en rien la profondeur de l’affection qu’il éprouve pour son enfant.

Cette réflexion met en lumière les défis auxquels peuvent être confrontés de nombreux parents qui ont grandi sans un parent modèle, qu’il s’agisse d’un père ou d’une mère. Malgré cela, Keoghan est une preuve vivante qu’il est possible de surmonter ces défis et de réinventer la paternité à sa manière, avec amour et sincérité.

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La confession de Keoghan résonne profondément avec son parcours personnel et professionnel. En tant qu’acteur, il a souvent incarné des personnages complexes et vulnérables, ce qui reflète peut-être une part de sa propre réalité. Keoghan est aujourd’hui un acteur respecté, notamment grâce à ses rôles dans des films tels que The Killing of a Sacred Deer, Dunkerque et Les Banshees d’Inisherin.

Son honnêteté sur les défis personnels qu’il rencontre dans la paternité est un témoignage poignant de sa résilience et de sa capacité à surmonter les difficultés. En partageant ces sentiments, Keoghan offre également un message d’espoir à ceux qui se trouvent dans des situations similaires : malgré les épreuves de l’enfance, il est possible de construire une relation solide avec ses enfants, même si elle est différente des normes sociétales.

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En fin de compte, Barry Keoghan montre qu’il n’y a pas de modèle unique pour être un bon parent. L’amour, la compréhension et l’acceptation des défis personnels sont tout aussi importants, sinon plus, que les enseignements pratiques ou les traditions familiales. Dans un monde où la parentalité est souvent idéalisée ou jugée, Keoghan apporte une vision authentique et réconfortante : peu importe le chemin parcouru, l’essentiel est d’aimer, et cet amour n’a besoin d’aucun modèle pour exister.